mercredi 14 décembre 2011 à 18h28, par un-e anonyme
de mon point de vue, quand des salariés d’IBM par exemple vont individuellement chez un psychiatre ( qui n’a bien sûr rien à voir avec IBM ) ça règle le problème individuellement mais ça élude la question collective.
de là, à dire qu’un service hospitalier de pathologies professionnelles ferait le jeu de l’entreprise, je ne le pense pas. Maintenant que certains salariés soient complices de leur direction, qu’ils ne soient pas en phase avec ce que vivent ceux qui tombent malades, parce que tout va à peu près bien pour eux ( ces connards ), parce que ils ne sont pas encore pas passés par là, ça me parait (...)