« Mais mes finances ne sont pas élastiques, hélas. »
Clair que ça coûte cher, quand on a peu ou pas de thunes, de se fournir en titres de presse. Encore plus de les soutenir à l’occasion.
C’est là que les choses pourraient s’inverser : il est évident que quelqu’un se trouvant à la fois au chômage et en fin de droit ne devrait pas - entre autres - avoir à payer pour lire un journal. Et donc, il est possible de s’abonner gratos à A11, l’idée étant que les gens qui donnent plus en soutien payent pour ceux qui ne peuvent le faire. N’hésite pas à nous envoyer un mail avec ton adresse, ce sera un plaisir de (...)