Tout pareil, Serge : je croyais enfin être pépère aussi. Et paf, tout s’écroule, on repart pour un tour....
NB : ah oui mais non, j’ai arrêté de lire à « abandonner l’esthétique post-punk et post-Valstar du rosé de mauvaise qualité » (nonobstant, la formule est fort jolie). Tu ne veux pas qu’on se coupe un bras, aussi ? Qu’on arrête de respirer ? Qu’on envoie une demande de stage au Médef ?
(Je dis ça, un peu par fierté et beaucoup par fidélité, mais en fait tu as certainement raison. La preuve, ça fait au moins quatre mois que je n’ai pas ouvert une bouteille de rosé d’Anjou. Tout se (...)