A qu’il est doux d’apprendre qu’il existe dans ce pays une avant-garde éclairée qui n’a pas peur de célébrer avec éclat sa propre intelligence (cité 3 ou 4 fois dans l’article). Et avec quel talent d’écriture ; en omettant pudiquement le mot de « modestie », certainement réservé aux pauvres ploucs qui se sont rassemblés du mercredi au dimanche pour défendre ce qui leur paraît si important, la simple humanité. Et aussi avec un sens de l’humour qui a la décence de ne pas se faire remarquer. Mais j’arrête là car je ne voudrais pas déranger les scribes laborieux qui n’ont pas de temps à perdre avec ces fredaines (...)