Ce n’est pas qu’il aspire le jus de la treille, le charançon, c’est qu’il le gobe littéralement, qu’il le slurpe avec un appétit si débordant que la treille elle-même passera par le gosier, avec poutres et branchages. A côté, le perce-oreille fait pâle figure, lui et sa consommation sereine, un peu de vin et un peu de fruit, insecte sportif et équilibrant son alimentation.
Bref, le charançon est un bon vivant, un vrai, oui Madame !