vendredi 16 avril 2010 à 15h52, par pièce détachée
Tout d’accord. En fait, il ne faut peut-être pas voir dans le billet de J. Guigou une condamnation de P. Jourde comme « affreux réac » (j’en doute moi aussi), mais plutôt le reproche de se réclamer des propos de H. Arendt comme si le contexte historique dans lequel elle les a tenus n’avait pas changé d’un iota.