La seule chose que je regrette en lisant ce papier, c’est que Chomsky soit défendu contre les crétins haineux du Monde et consorts (qui ne méritent pas qu’on leur consacre une ligne) par un Discepolo, dont la pensée étriquée, binaire et fielleuse le range plutôt du côté des Bruckner et des Glucksmann que de celui pour lequel il plaide. Quant à Bouveresse, on pourra s’amuser à relire ses livres si on en a le temps, après avoir terminé les oeuvres complètes de Patrick Sébastien et de Michel Drucker, et avant d’attaquer les mémoires de Loana. Preuve qu’on n’a malheureusement pas toujours les amis qu’on (...)