Si comme le dit mathieu Rigouste, la connaissance de ce qui nous opprime est une arme, je trouve, en tant que militante, que cette connaissance ne me paraît accessible qu’aux personnes politisées. On a beau être réprimé, être pauvre ou être sans papier, si nous n’avons aucune conscience politique, les révoltes se terminent sur du vide ou un marchandage qui permet de calmer sans détruire le système.
ce qui est terrifiant, c’est de savoir que tout est programmé et que la majorité des personnes l’ignore complètement.
tel à Calais, personne n’arrive à croire que le gouvernement organise les violences (...)