La passivité et le suivisme actuel des travailleurs vis-à-vis des partis populistes sont liés à la culture de la soumission qui régnait sous le « socialisme réellement existant ».
Je pense que cette vision est marquée à la fois par une ignorance des rapports concrets de travail sous le communisme - il s’agit en effet d’une zone d’ombre - et par un occidentalocentrisme latent.
La réalité est plus complexe que cette figure de l’idiot qui au passage ne peut expliquer la chute du communisme en Europe de l’est.
D’après ce que l’on sait, la philosophie des individus sous le communisme, c’est la connaissance (...)