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Jean-Pierre Berlan (I) : « Derrière les OGM, c’est un projet de mort qui s’impose »

dimanche 28 mars 2010 à 17h05, par Benjamin

On en ingurgite des tas, ou plutôt les animaux qu’on mange en ingurgitent des tas, en effet. Pour l’étiquetage, la question est abordée dans la seconde partie de l’entretien (Note de bas de page 9). Pour simplifier, il y a aujourd’hui un seuil qui a été défini au niveau européen : en dessous de 0,9% d’OGM le produit n’a pas à être étiqueté comme en contenant. De toutes façons, le but est bien de nous y habituer progressivement, sans qu’on ne s’en rende vraiment compte. En plus, c’est fait sous couvert de « protection du consommateur » et autre « transparence des filières de production »... Du vrai foutage (...)


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