La censure s’épanouit en Thaïlande. Les médias occidentaux n’en parlent presque pas : le gouvernement thaïlandais n’a pas le tort d’être de gauche. Qu’une journaliste du journal (censuré) « Prachathaï » purge 18 ans pour crime de « lèse-majesté » ne semble pas poser de problème à la plupart de nos journaleux européens.
Le blog du « Diplo » « Planète Asie » est victime de nombreux postes « jaunes » : « Tout est la faute de Thaksine, avant lui la Thaïlande était unie,... » et autres (...)