Le problème avec les grenoblois... c’est justement qu’ils sont... grenoblois et donc tous issus du même moule technoptimiste, qu’ils soient vert ou roses, ils sont avant tout « ingenieurs à grenoble » lire ou écouter Bernard Stiegler sur la « prolétarisation » en particulier des « cadres du high-tech » et de leur éloignement des savoirs et donc des savoir-vivre
Ceci dit, effectivement cette histoire de « sillon alpin » est assez anecdotique, mais elle ne change rien au problème du choix politique des édiles grenoblois d’une ville qui se persuade que la survie passe par la croissance et ne misant tout sur (...)