La chanson de Brel a marqué ma jeunesse, cette attente sans but, ses tartares invisibles mais par là-même menaçants... Il faudrait que je relise aussi le roman de Buzzatti, il y a des choses que l’on comprend ou apprécie mieux l’âge venu. Merci Lémi, plus je vous lis, plus j’aime vous lire !