Bien vu pour le lien, ça m’avait échappée. « Habituée » des stands de tir « pour se vider la tête », qu’elle dit. Tout s’explique, alors : elle a tellement tiré, encore et encore, que sa tête est désormais définitivement vide...
« vous avez pas trouvé de rosé ? »
Mais attention : on était venus avec nos réserves persos. Un stand, une gorgée ; un stand, une gorgée... il fallait bien ça pour tenir le coup...