T’as bien résumé le truc, je trouve. Ça m’a fait repenser à Besancenot passant chez Drucker, d’ailleurs.
Pour prendre l’exemple de Bové : il s’est perdu une fois qu’il a accepté trop de jouer le jeu et que ses moustaches lui sont tombées à la tête. Je crois que le système est profondément corrupteur, qu’on ne peut imaginer profiter des occasions qu’il vous offre (que ce soit une interview chez Voici ou un passage chez Drucker) sans donner un peu de soi en contrepartie.