« Je n’ai donc pas plus de respect pour Mermet que pour ses sbires » : ça se comprend, mais faut se mettre aussi à la place des gens. Le vrai coupable, c’est Mermet, l’instigateur d’un système de management que le but du travail ne justifie pas. Les autres, s’ils se retrouvent complices de fait, ne le sont pas intentionnellement. Et sans l’intention, il n’y a pas faute.
Quand vous êtes persuadé de participer à une émission « formidable » sous l’égide du « Maître », il est tout à fait naturel de lui donner raison chaque fois qu’il vitupère un « mouton noir ». Parce que, à chaque fois, la situation est vécue (...)