Aujourd’hui comme hier, en France, c’est un système capitaliste. On peut ne pas être d’accord avec, vouloir le changer ou le renverser, mais en attendant il y a une limite c’est LE FRIC. Quand il n’y a plus de fric, on ferme et tout le monde est sur le carreau. Les patrons en usent et en abusent, mais face au chômage même les délégués syndicaux deviennent pragmatiques.
Je comprends que les « petits chefs » ont des ordres, des limites, un cadre légal etc et que ce n’est pas eux qui choisissent, et qu’ils doivent expliquer à leurs subordonnés qu’ils ne peuvent pas décider de tout avec un pouvoir bien (...)