Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux. Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter.
Après Jacques Chancel l’année dernière, c’est Daniel Mermet qui vient de recevoir le Grand Prix de la SCAM (Société civile des (...)