samedi 17 janvier 2015 à 13h00, par Simon Chalumot
Très intéressant commentaire. Et très bon parallèle entre ceux de charlie et les tueurs. Ils étaient réunis par la guerre. Ils n’étaient pas lâches, ils allaient au combat...
Un combat débile, qui n’avait pas de sens et les dépassait tous autant qu’ils étaient aussi cons les uns que les autres. A ceci près, que les assassins étaient des victimes impuissantes de leur destin façonné par la machine marchande dans toute sa brutalité. Les autres étaient des mondains Parisiens, des rebelles de salon qui ont choisi de s’investir dans une guerre absurde au nom d’un esprit libertaire et anti clérical dévoyé au (...)