Tu as raison. Il y a deux trucs, en fait.
Un purement pragmatique : le commentaire au-dessus est intégré à un fil de discussion, il avait déjà une réponse, bref c’est plus chiant à supprimer que quand il n’y a pas de réponse et qu’il suffit de pousser sur le bouton.
Et un truc un brin plus idéologique : de base, on n’a pas le réflexe de supprimer, et il faut nous faire violence pour censurer. On n’aime pas ça, on n’y croit pas et on espère toujours que le débat va s’auto-réguler.
La plupart du temps, c’est le cas. Mais le dénommé B. se remet (il le faisait déjà il y a un bail puis il s’était calmé) à (...)