La question de la vérité est intéressante. Les Lumières ont posé des bases communes, une méthode rationnelle d’investigation : la critique. Mais on peut tout autant opposer que l’Idéal universalisant et la méthode proposée, que les vérités objectivées mises en avant, étaient empruntes de christianisme, plus ou moins consciemment (cf. Mondzain et cf. Bourdieu). Pour en revenir encore et toujours à Kant (figure marquante des Lumières), il a aussi des failles. Avec le « sens commun » (Critique de la faculté de juger, § 40) : voir avec les yeux de la raison, autrement dit : transformer toute perception sensible (...)