C’est Marianne qui l’affirme : Les barbares sont au coin de la rue. Autant dire : déjà là… Surfant sur le dernier phénomène médiatique à la mode, l’ultraviolence, le magazine concourt brillamment - et avec d’autres - à la construction de l’énième avatar de l’ennemi intérieur : le barbare. Soit celui qui agresse nos femmes et nos enfants jusque sur les parkings de nos parcs de loisirs…
Ça y est : l’ultra-violence a été portée sur les fronts baptismaux.
Et ce ne fut pas une naissance publique menée aux (...)