c’est vrai les femmes sont les présentes-absentes, les oubliées de la révolution,voire les oubliées de la Tunisie. Mais, cette œuvre est originale,bouleversante et chatouillant le patriotisme existant dans le cœur de chaque âme libre et émancipée. En revanche, ce qui je n’ai pas apprécié c’est le nomination « fantômes » ces jeunes qui se sont sacrifiés pour que nous vivions dans la dignité, je les appellerais plutôt les SURVIVANTS DE LA KASBAH ? HIBAKUSHA car ils resteront omniprésents dans notre vie et dans notre (...)