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Spectaculaire contrition : trois Pater et deux Ave pour Vincent-la-Fronde-molle

jeudi 4 mars 2010 à 17h13, par JBB

« S’il fallait compter sur la télé pour révolutionner quoi que se soit. » On n’est d’accord : ni la télé ni Peillon ne changeront jamais rien. Sinon en pire… « Il s’était excusé lui aussi, le bougre ! » Oui. Mais au moins, ça a donné naissance à l’une des chansons les plus pourries du monde, et ce n’était pas une mince performance… :-)


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