Fantastique Rufus Thomas (indeed), merveilleuse Big Maybelle (ô combien), lumineux Otis Spann... Mais comment je fais, moi, si à chaque billet on me réoriente vers des dizaines de pistes alléchantes ? Je vais me noyer dans le blues, voilà tout...
Blague à part, le morceau de Rufus Thomas (ICI) enlumine mon lundi matin malgré l’évidente maltraitance d’un félin innocent. C’est pas rien.