Merci pour le lien. Ce texte est très éclairant sur la réalité et l’état du mouvement anti-fasciste aujourd’hui, et me fait penser que C. Méric est vraiment mort pour rien, ce qui est extrêmement triste et désolant.
La stricte logique du « No pasaran » ne sert plus à rien sinon à se mobiliser contre un « ennemi » largement fantasmé et éventuellement se mettre inutilement en danger. Ce n’est pas dans la rue - en dehors de cas spécifiques comme à Lyon par exemple -qu’il faut chasser le « fascisme », mais partout ailleurs, ce qui est beaucoup plus difficile.
C’est ce dont ce texte prend acte de façon très (...)