ARTICLE11

Poster un message

En réponse à :

Juliette Volcler : « Court-circuiter les machines à communiquer »

lundi 1er février 2010 à 23h47, par JBB

Ce n’est pas qu’il aspire le jus de la treille, le charançon, c’est qu’il le gobe littéralement, qu’il le slurpe avec un appétit si débordant que la treille elle-même passera par le gosier, avec poutres et branchages. A côté, le perce-oreille fait pâle figure, lui et sa consommation sereine, un peu de vin et un peu de fruit, insecte sportif et équilibrant son alimentation. Bref, le charançon est un bon vivant, un vrai, oui Madame !


Un message, un commentaire ?
  • (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)