Rien de nouveau sous le soleil donc, sauf que même si certains observent ça avec mépris, il n’en reste pas moins que l’Indien ici a inversé la tendance en se hissant à la présidence. Mieux, il n’a pas eu besoin de singer le fonctionnement somptuaire de nos civilisations avancées. Un contre-pied qui m’apparaît plutôt porteur d’espoir. Et qu’importe les ricanements à l’extérieur, ce n’est pas eux qui insufflent la politique bolivienne.