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« Une grammaire est comme un planisphère »

mercredi 7 janvier 2015 à 00h58, par pièce détachée

Toute ma vie j’en ai rêvé, voici que Jean-Pierre Minaudier l’a fait. Alélouya ! Pour freiner la goinfrerie de la première lecture, je l’ai encadré — en ces cas extrêmes on ne doit pas lésiner — de quelques verres de Benveniste hors d’âge (rha la classe) et du stilton à nobles moisissures d’A. Grafton, Les origines tragiques de l’érudition. Une histoire de la note en bas de page (Seuil, 1998) [1]. Pas Sapir ni Whorf, dédicataires du Gérondif, parce que Sapir fait le soupir du tapir et que rien n’oblige à lire un linguiste essouflé qui aspire des fourmis tandis que whorf ! éternue, même si c’est leur boulot. (...)


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