J’ai été ivre tôt ce matin ; j’ai de bonnes raisons pour cela, mais je ne vais pas vous assommer avec ma vie. Je ne pensais rien faire, mais ce bel article d’AXI m’a donné envie de recopier des passages, en honneur à l’anarchie, d’Ernest Coeurderoy (tirés de « Jours d’exil ») ; puis j’ai eu la flemme de finir ; si du moins ces brefs extraits donnent envie à certains de lire le livre, cela n’aura pas été totalement inutile.
« Jeunes hommes du XIXè siècle ! est-ce respirer que de trembler toujours sous l’absurde crainte du ridicule ? Est-ce vivre que de ne pas oser ouvrir sa droite, lorsqu’on la croit pleine de (...)