Bonjour,
En tant que bénéficiaire du RSA, je défie quiconque de parler d’indépendance. Certes, vous voulez sans doute parler d’indépendance vis-à-vis du « système » mais dans le même temps ces « courageux » jeunes gens ne parlent jamais de s’en retirer.
Plus fort même, leur revendication de base :
« Dès l’élaboration du projet, ils avaient posé qu’il n’était pas question d’en vivre. »
En même temps, avec un apport de 130.000 euros et un prêt de 40.000 euros (quiconque a tenté de décrocher un financement -aussi minime soit il, et qu’il soit contracté auprès d’un organisme privé, mixte ou public- sait bien que les (...)