samedi 8 décembre 2012 à 19h58, par pièce détachée
Les origines de Francis Lemarque et ce qu’il a tenté d’en faire, tout né qu’il se trouva dans les jours de fête de novembre 1917, font de cette chanson du cordonnier, quoi qu’on en pense esthétiquement, un très lointain souvenir de la culture qui imprégnait aussi Strasbourg en 1518 : l’artisan voyant chavirer dans la danse l’aimée (et pas qu’elle) chaussée par ses soins amoureux (ou intéressés). À coups de « machiste » ou autres, on pourrait faire attention à ne pas écraser ça aussi, cet érotisme total lucide de la vie qui aime, façonne, filoute, peaufine et s’envole d’un même geste, ce truc à la Chagall de (...)