Quand on demande aux autres de fermer sa gueule (voir ton comm plus haut), qu’on pleurniche sur le bon vieux temps où internet était réservé à une poignée de privilégiés (ha, mon dieu ! ces millions d’anonymes qu’on sait même pas qui c’est et qui donnent leur avis...), et qu’on nous bave son amour sur le paletot que ça nous fait des grosses taches qui partent pas au lavage... Barne, t’es un mou, casse-toi, tu nous emmerdes.