Alain Soral n’a pas pu le faire tout seul. C’est parce qu’il a eu, et il a, autour de lui, des gens qui le soutiennent et qui lui inculquent des idées sur toutes ces questions. Sans le travail de la « nouvelle droite » et de son dirigeant, Alain de Benoist, les « analyses » de Soral n’aurait pas cette portée qu’elles ont sur les militants les plus déterminés de son association.