C’est vrai, ta chronique est assez déchirante, et pas facile à commenter. Surtout pour le grand bavard que je suis... En général, la plupart de mes commentaires finissent en .txt dans un coin du bureau, pas le temps.
Et pour tes sévices, j’ai parfois la gorge si serrée après leur lecture que la barre verticale clignote et ne semble pas vouloir avancer... Moi, ça m’évoque mon quotidien, mon quartier, les gens avec qui j’ai grandi. Enfin voilà, je voulais aller dans le sens d’ un anonyme, plus haut, et évoquer l’ histoire de quelques uns de mes commentaires avortés. Merci pour tout (...)