Oui, c’est ça, on reste sans voix-sans doigts, transférés sur le lieu des sévices sociaux pendant la lecture, on a du mal à revenir à la page et dans son douillet univers pour faire un commentaire ; grâce aux interventions de dessus, je viens de comprendre pourquoi je n’arrivais pas à dire quelque chose alors que ces petites tranches de vie m’émotionnent.
Alors on ferait comme ça, on dirait un « silence-on aime » définitif pour toutes les chroniques à venir (...)