Superbe article, et commentaires passionnants. On entre dans le vif du sujet. Arnak, tu écris :
« Est ce que se constituer de son plein gré en ennemi intérieur est une démarche très constructive ? Les ennemis en tant que tels sont ils légion ? Les passifs et les forces d’ interposition, c’est certain, mais voir les choses d’ une façon aussi manichéenne ne me semble pas très positif - les amis de mes ennemis sont ils mes ennemis ? Si le champs du social est une guerre, c’est une guerre larvée, une guerre froide et de longue haleine, ou le désespoir et l’attente d’une »bataille« décisive n’ont peut (...)