@ Serge Renaudie :
Une lecture rétrospective et personnelle de Mario Tronti dans Nous opéraïstes sur le mouvement opéraïste italien des années 1960-70 m’a fait penser au défaut que vous pointez dans le texte de Jean-Pierre Garnier, et qui revient assez systématiquement dans ses écrits, la critique acerbe sans perspectives, et qui ne se demande pas pourquoi la révolte reste marginale et peu populaire, même si bien fondée. P. 45-46 :
La différence qualitativement déterminante entre contestation et révolution devrait être étudiée plus en profondeur. Faire la critique du pouvoir est une chose, le mettre en (...)