Pour Thompson, mea-culpa et toutes ces sortes de choses : tu as parfaitement raison. L’alternatif était dans sa façon d’écrire, pas dans les médias qui décidaient de le publier (à ceci près, ensuite, que des magazines décidant de publier un reportage de 20 pages de Thompson me sont plutôt très sympathiques). Et c’est quelque chose qui a été totalement récupéré, dans le style comme dans l’approche.
Je voudrais pas paraître trop d’accord avec toi, mais j’adhère aussi à ta vision de la subvention. Mieux vaut une subvention qu’une pub : oui. Et toute thune est bonne à prendre, surtout institutionnelle, du moment (...)