Merci pour la franchise de ce billet qui nous concerne effectivement tous, camarade. Soit dit en passant, Fight Club est loin d’être un mauvais film, malgré ses ambiguïtés, mais le roman le surpasse de beaucoup.
Le plus marrant, c’est quand on se met à tout dévorer d’un auteur que jusque là on tenait en piètre estime, pour telle ou telle raison exotérique. Ça m’a fait le coup avec Manchette (!), longtemps tenu à l’écart à cause de sa gloriole, avec Échenoz pour la même raison, et pareil que toi pour Duras : lorsqu’une chérie a enfin réussi à me convaincre de lire Le ravissement de Lol V. Stein, j’ai été (...)