Perso, cette technique du titre choisi au feeling dans la bibliothèque familiale ne m’a pas toujours réussi. C’est comme ça que, aspirant ado, j’ai découvert Duras (« L’amant » semblait un titre prometteur pour le boutonneux libidineux que j’étais – publicité mensongère) et illico déserté pour un bail la voie/voix Marguerite. Par contre, ça a marché avec d’autres trucs, notamment quelques amours de jeunesse – Kessel, Zola et London. So : un hourra pour l’instinct juvénilo-littéraire. D’ailleurs, les préjugés viennent plus tard, quand l’enfant se carapate et que l’adulte se glisse à sa place...
Il est toujours (...)