« comme si jouer la légalité allait »arranger« quelque chose ... »
En théorie, ça permet quand même de ne pas passer l’après-midi au commissariat et de ne pas se faire trop précisément ficher (à la différence de la dernière manif sauvage à laquelle j’ai participé,où presque tous les participants se sont retrouvés quelques heures au comico). En plus, dans ce cas précis, il s’agissait de se rapprocher de la Santé et de se faire entendre (notamment musicalement) des prisonniers : sans autorisation de la Préfecture, c’est pour le coup pas du tout envisageable.
« J’attends que les avocatEs engagéEs montent »un peu (...)