Pour ma part, les premières sorties de l’épithète « décomplexée » débordait le cadre sécuritaire (la droite au pouvoir a-t-elle jamais eu de complexes au matraquage de la populace ?).
Je l’appréhendais comme libération des instincts prédateurs du grand patronat, trop longtemps tus et étouffés par une droite traînant le boulet de la collaboration.
En effet, plombés par l’héritage collaborationniste, les tenants du grand capital n’ont ou s’opposer aux ordonnances de 1945, large compromis allant des « communistes » à la droite social-libérale.
Ordonnances issues du Conseil National de la Résistance et (...)