Je pense, comme je l’ai observé lors d’une conversion bio d’une partie de mon vignoble, que ce passage se traduit inéluctablement par une explosion des maladies du bois. N’est ce pas le cas chez vous ? Je pense que ce passage souhaitable vers le bio ne pourra pas se faire sans un retour au traitement avec l’arsénite de soude, distribuée une fois tous les trois ans (ce qui paraissait suffisant avant son interdiction pour contenir cette maladie), sur des cépages aussi noble que le Cabernet et le Sauvignon. Cette distribution devrait être faite non pas par les viticulteurs mais par des entreprises (...)