Ouaip, sans doute que des trois, Egolf est celui qui colle le plus à la réalité, se fait « fable sociale ». Fantaisiste et taré, mais ancré dans une forme de critique globale au scalpel, voire au marteau-piqueur à fragmentation. Avec un zeste de Brautigan, sans doute, mais pas que (Il y a une douceur deans Brautigan qui n’est pas présente dans Egolf, je trouve. Egolf, j’y verrais presque un Bret Easton Ellis inversé : grattant l’envers du décor en bas de l’échelle sociale à la place de le faire en (...)