mercredi 3 février 2010 à 14h37, par George Weaver
Merci, Ubi, pour ce saisissant récit qui offre un parfait condensé d’une situation bien plus vaste (et merci à Amnesix pour ses souvenirs de gamin).
Désolé, je ne puis m’en empêcher : à l’époque de l’OAS, et aux antipodes de celle-ci, il y avait une autre organisation, l’IS, mais la France d’aujourd’hui n’est pas plus une oasis qu’alors.