C’est toute l’ambiguïté : être lu, ou être lu pour ce qu’on est. Difficile question, difficile de trancher.
Reste ensuite à juger le fond. Et de ce côté là, il semble que Diagonal est réussi une chose assez rare : ne rien perdre de son fond de combat malgré la forme.
Alors s’en inspirer ? Ouvrir la voie avec de nouvelles revues « formatées grand public » ? Ou se dire que 7500 numéros dans un pays où la presse se vend bien, et où la cultuer autonomiste (pardon pour le « iste ») est plus forte qu’en France c’est pas non plus « extraordinaire » ou plutôt « pas assez significatif » pour qu’on s’approprit la (...)