Je m’acharne à défendre le texte parce que j’ai dû mal à accepter qu’on puisse autant se méprendre sur notre démarche.
C’est facile de tourner en ridicule des mecs qui ont essayé de dépasser les clivages pour accoucher d’une synthèse trop lisse pour certains, inutiles pour d’autres. On aurait soutenu le projet, vous nous auriez dit : « Ca y est, les bobos de la blogosphère se prennent pour des révolutionnaires ». On aurait rien dit, les Médias qui souhaitent que le No Sarkozy Day prenne de l’ampleur, aurait associée la blogosphère sans distinction, au projet.
Enfin bref, j’arrête là. Je continuerai à vous (...)