Le pays traverse une période d’affaissement comme il n’en avait plus connu depuis Boulanger, au moins. A ceci près que Boulanger n’avait pas pris le pouvoir, et que sa vulgarité pugnace s’était donc cantonnée à un rôle politique, pas institutionnel.
On aura peut-être même plus de mal à se relever de cet avilissement que de la crise économique.