« rêvent toujours d’une oasis de facilité au milieu d’un monde cruel » l’a pas osé écrire ça quand même ?! On dirait du Jean Claude Borelly ou du Cleyderman. Les pourfendeurs de « l’état providence » me font rire, ce sont en général les premiers à en profiter. Lui dans sont rôle de lèche-cul, ne doit pas être en reste...